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  • : Le blog de Masangana Diamaka Robin
  • : Analyse de l'actualité politique africaine et mondiale, des faits de société et présentation des ouvrages publiés
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11 février 2008 1 11 /02 /février /2008 20:05
Nourrissez le matin et soir mais faites attention tout de même: il peut vous mordre à tout instant. 
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9 février 2008 6 09 /02 /février /2008 19:33
Un Etat ne peut se permettre une pause dans son action qui exige une continuité absolue. Trois éléments fragilisent l'action politique au Congo.
Il y a d'abord la très grande faiblesse des structures regaliennes de l'Etat à savoir la justice(impunité des violeurs, des assassins et des miliciens qui sèment la mort partout), la défense (fragilité d'une armée en recomposition qui ne peut assurer la défense des intérêts vitaux de la nation et de son intégrité territoriale), l'économie(problème des salaires, absence d'investissements majeurs dans les domaines createurs d'emplois comme les PME et PMI, l'inflation, la dette), l'education(problème de la prostitution des jeunes, enfants des rues), intérieur(arrestations politiques et insécurité avec des assassinats).
Il y a ensuite la logique du conflit qui mine aussi bien les sphères du pouvoir que de l'opposition. Pour accèder au pouvoir, il faut faire sa petite rebellion dans un coin du pays.
Il y a enfin une grave absence de stratégie post électorale. Toutes les grandes personnalités du monde, aussi bien le Secrétaire général de l'ONU que le Président de la commission européenne en passsant par les ministres de toutes les grandes puissances sont passés à Kinshasa pour expliquer au peuple congolais que les élections étaient le chemin obligé pour leur bien être.
Les Congolais attendent toujours les dividendes de ces promesses. L'invisibilité de l'action gouvernementale assombrit chaque jour l'éspérance d'un peuple soummise  à rude épreuve.
Pas étonnant que la méfiance grandisse et que chaque jour qui passe rende l'atmosphère lourde dans un pays où les rumeurs sont reines.
Aussi importante soit la macroeconomie, les gens ont un besoin vital même existentiel de voir leur quotidien leur offrir des perspectives d'avenir rassurantes: le courant, l'eau, les salaires, l'école, la santé.
Alors la confiance reviendra vers les institutions de la république. Sinon, les rebellions qui se nourrissent de la faiblesse de l'Etat central, seront davantage à l'ordre du jour sur l'agenda politique congolais car l'instabilité politique est le pur ennemi de l'économie.
 
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7 février 2008 4 07 /02 /février /2008 20:36
Il n'y a pas de fumée  sans feu. Il n' y a pas de rumeur sans feu...le feu de la rumeur, celui qui l'amplifie et qui brule. Kabila n'est plus, clame une rumeur orchestrée dans la capitale congolaise.
Boudé par les occidentaux vexés par l'arrivée tonitruante de la Chine comme Déby à qui des Français humiliés par l'affaire de l'Arche de Zoé ont fait sentir l'odeur de la faiblesse pour mieux le dompter à nouveau, Kabila doit se battre contre une rumeur faite pour l'affaiblir et le destabiliser.
Le silence et la discrétion semblent être le terreau de la rumeur. La transparence, la visibilité son ennemi.
La rumeur est aussi désatreuse que l'eau de mer, elle est salée, très salée.
Pour vaincre une rumeur, rien de tel qu'une explosion des regards et des actions utiles. Des regards qui voient et des actions bénéfiques à toute la société.
 
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29 janvier 2008 2 29 /01 /janvier /2008 12:05
Si Mitterand gouvernait à gauche et Chirac à droite, sarko lui semble gouverner au ciel, dans les nuages avec un melange de genre et de style qui risque fort bien de lui être préjudiciable à la longue.
Gouverner la France ne necessite pas seulement d'être au pouvoir, il exige de resister à ses aléas et surtout aux caprices du temps.
Il ne sert donc à rien de prendre le TGV, il faut un train qui sache faire admirer les alentours du parcours.
Si la vie privée du chef nous intrigue, l'essentiel de celle-ci devrait le concerner, lui et sa belle.
A chacun son temperament, son look, l'important est que la politique se fasse ...dans un minimum de dignité.
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29 janvier 2008 2 29 /01 /janvier /2008 11:45
Ce qui semble caractériser la jeunesse aujourd'hui, c'est sa capacité à franchir les frontières du respect. Lorsque dans les transports publics ou lors des débats avec des jeunes, j'ose m'abreuver de leurs reflexions, le nombre des mots orduriers qui me percent les oreilles me coupent la soif.
Etre le plus dégoutant possible, c'est l'objectif de certains jeunes.
Heureusement qu'il y a toujours des exceptions qui viennent confirmer la règle.
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28 janvier 2008 1 28 /01 /janvier /2008 20:26
Lorsque deux lions se battent, c'est l'herbe qui souffre le plus. Ce sont toujours les plus faibles qui paient les frais des combats des chefs. 
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23 janvier 2008 3 23 /01 /janvier /2008 11:53

C'est quand les invités ont fini de manger qu'on parle.
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19 janvier 2008 6 19 /01 /janvier /2008 18:11
C'est à force de croire qu'on voit Dieu. La foi est un mouvement et pas seulement une attitude.
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13 janvier 2008 7 13 /01 /janvier /2008 18:29
Un vieux assis a déjà beaucoup vu et voit encore. Un vieux debout voit plus loin.
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2 janvier 2008 3 02 /01 /janvier /2008 12:41
Bonne année à toutes et à tous et que mes meilleurs voeux de santé et de bonheur vous accompagnent tout au long de 2008.
Merci à vous qui avez fait confiance à mon blog en 2007 avec l'espoir qu'en 2008, vous serez encore plus nombreux et plus fidèles.
Je ferai mon possible pour apporter encore plus.
Bonne année à vous et à vos familles.
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